Plan d’éducation nationale commune

ESQUISSE D’UN PLAN D’EDUCATION NATIONALE

La renaissance de l’éducation nationale se fera par et avec l’implication des parents et des enseignants sous la responsabilité des municipalités et des conseils généraux, d’une part ; d’autre part, les programmes et l’inspection seront sous l’autorité du ministre pour assurer une teneur et une valeur nationale aux enseignements, aux diplômes et aux concours de recrutement locaux. La première mission de l’éducation nationale est de faire acquérir à tout élève une tête bien faite, comme le prônait Montaigne, une culture et un savoir-faire professionnel lui permettant de commencer à gagner son pain (potentiellement entre 16 et 18 ans).

Au 19e siècle, la plupart des Français vivaient de l’agriculture et leur savoir était acquis par tradition familiale et pratique rurale. Les évolutions techniques et les besoins en main d’œuvre de l’industrie en développement appelèrent une alphabétisation et une instruction dont le certificat d’étude fut la norme minimale jusqu’au milieu du 20e s. Au sortir de la guerre, le niveau de culture nécessaire au secteur tertiaire est sanctionné par le BEPC et bientôt le BAC. Or depuis plusieurs décennies les technologies nouvelles demandent les qualifications correspondantes dans tous les métiers ; ce que le système scolaire du siècle précédent ne peut pas réaliser conçu qu’il est sur la dichotomie enseignement générale – enseignement technique. Le modèle ici proposé vise à offrir à tous les enfants de France la possibilité de s’élever progressivement aux plus hauts niveaux de la vie professionnelle et sociale.

Principe
La responsabilité de l’éducation appartient aux parents (article 371-2 du code de civil). C’est pourquoi la république française a décidé par la loi (dite Ferry) du 28 mars 1887 que les parents doivent instruire leurs enfants selon des programmes déterminés nationalement dès 6 ans. Désormais ces programmes obligatoires commenceront avantageusement à 5 ans.
« L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. » (Code de l’éducation art.131-2).
Le service public s’appelait autrefois instruction publique. Toutefois rétablir ce premier terme risque aujourd’hui de ne pas donner droit de cité à la mission d’éducation que remplissent les écoles publiques et privées au nom des parents. Au fond les deux termes sont adéquats. En droit les parents délèguent mais ne transfèrent pas leur souveraineté d’éducateur.
La finalité du service public de l’éducation-instruction est de faire acquérir à tout citoyen français les moyens intellectuels et techniques de tenir dignement sa place de citoyen en particulier par l’exercice d’un métier avec compétence, métier qu’avancé dans sa carrière il puisse exercer librement à son compte. C’est ainsi que la devise de la république liberté-égalité-fraternité au fronton des écoles se réalisera davantage, comme nos aînés l’ont voulu et espéré.
Le service de l’instruction publique propose aux parents (des crèches ?), des écoles maternelles, des écoles primaires et des collèges organisés par chaque conseil municipal ou plusieurs conseils municipaux, des lycées organisés par chaque conseil municipal ou plusieurs. Les facultés sont organisées par les conseils généraux soit sur le territoire d’un département soit de plusieurs.

Optimisation de la pédagogie : il ne suffit pas de lecture syllabique et d’orthographe par exemple, il convient de modéliser la façon de s’y prendre des pédagogues réputés très efficients… Comment impliquer davantage tous les parents : par les municipalités. Quels éléments d’incitation directe, indirecte : sécurité, sûreté à l’école, formation avec la police municipale et les secouristes existants : Croix Rouge, Samu, pompier ; présentation des pédagogies aux parents pour qu’ils puissent suivre leurs enfants à la maison. Temps de sommeil (réduire la TV et consoles de jeux) etc. Comment mobiliser les conseils municipaux et les enseignants et directeurs des écoles (publiques et privées). Motiver collectivement et si besoin individuellement des élèves en risque de décrochement dans les classes primaires (c’est là que se joue leur avenir intellectuel d’après Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France).

1° Les PROGRAMMES. Les concevoir selon trois contenus sensitifs et cognitifs différenciés :
1- la nature (visée par la science) ;
2- l’histoire (raisonnée) et les lois (de la république française) ;
3- les langages (au pluriel car les langues, les mathématiques, la programmation informatique, ainsi que les arts et les sports).
En métropole comme outre-mer, la langue maternelle n’est pas que le français, beaucoup parlent kabyle, berbère, arabe, turc, russe, polonais, roumain, hongrois, chinois, vietnamien, portugais, espagnol, italien, haoussa, swahili, lingala, etc. De ce fait des millions d’enfants ont été entraînés depuis la matrice à entendre au moins deux langues, celle de leur mère et le français.

Dès la maternelle,
les sens, les facultés affectives et intellectuelles permettent d’initier les enfants :
1- A l’observation de la nature par des leçons de choses, spécialement le corps et ses aliments; à la géographie.
2- A vivre avec ses semblables en suscitant de bonne habitudes de respect et d’ordre faisant appel à des comportements altruistes, à la chronologie des faits historiques mise à la portée des petits enfants.
3- Aux langues oralement car l’âge tendre est le plus réceptif, plus tard un début d’écriture des sons (consonnes d’abord), à la musique, au dessin, à la numération ; à la gymnastique aussi.

N.B. On chantera et dansera donc beaucoup dans les classes primaires en répétant inlassablement en formules les contenus présentés. Si dès cette prime enfance les codes formulés sont correctement assimilés principalement par mimisme (pertinence du signe à reproduire transporteur du sens inhérent, de l’information contenue et transmis par sa forme), alors :

A l’âge de cinq ans, beaucoup d’enfants s’expriment assez bien.
3 – Par mimisme ils emploient avec pertinence des formulations qui leur viennent des adultes. Certains sont aptes à lire, d’autres un peu plus tard sans que ce soit un retard, les croissances étant quelque peu variables. La rythmo-psalmodie est la méthode ancestrale éprouvée pour mémoriser définitivement, on continuera donc à chanter et danser beaucoup dans les classes primaires en répétant inlassablement en formules les contenus présentés. Apprentissage des deux voies de lecture et d’écriture : lettres-sons et lettres-sens.
1 – Les leçons de choses seront la base de l’enseignement. Les éléments d’hygiène, en particulier alimentaire, seront inculqués (enjeu de santé publique et principal moyen de réduire le coût de la sécurité sociale médicale).
2- Quant à la loi, on l’apprendra par l’exemple : de l’entretien et du rangement des matériels, des soins à des petits animaux, de la culture de plantes ; ce qui appartient aux autres et ce qui t’appartient mérite la même attention, si l’on a abîmé on doit essayer de réparer. On ne crie pas, ne se roule pas par terre, ni ne frappe, on dit la vérité et quand on a tort mieux vaut demander pardon et réparer pour se réhabiliter et se réconcilier, que des pleurs qui ne servent à rien, etc. l’histoire …

A partir de 7 ans, l’âge de raison, toutes ces notions dans un contexte favorable seront acquises.
1 – Les leçons de choses deviennent des observations méthodiques de la nature accompagnées d’expériences simples in vivo plus qu’in vitro, en particulier sur les organes, la nutrition, les soins du corps. (La médecine chinoise populaire comme le shiatsu a beaucoup à nous apporter. La prophylaxie est le meilleur moyen de diminuer les frais médicaux par dizaines de milliards.) Exercices pratiques correspondant à chaque leçon de choses : culture de plantes, travail du bois, montage électrique, premier soins…
2- L’étude simple de la loi qui pourrait s’appeler éthique est à la portée de la conscience des enfants : la responsabilité vis à vis des personnes, des animaux, des végétaux, des minéraux ; les contrats, les institutions. A dix ans les bases nécessaires à tous pourront être assimilés par la plupart de celles et ceux qui auront bénéficié de cette instruction et de cette éducation. Les grands évènements dans l’ordre chronologique et causal …
3 – Les bases linguistiques du français, l’expression orale et écrite en anglais et, si possible là où l’anglais ou une autre langue est déjà devenue familière, une seconde langue étrangère (par exemple la langue maternelle). L’initiation musicale, le dessin, l’arithmétique commencent.

Neuf – douze ans : Les enseignants de la première classe secondaire devraient trouver des élèves réceptifs :
1- aux enseignements scientifico-tehniques plus approfondis permettant d’unifier les concepts décrivant les phénomènes et de généraliser. A ce stade il ne faut plus organiser une filière générale longue et une filière plus technique, ce serait une médiocre solution perpétuant la dichotomie actuelle ; aux travaux pratiques en situation d’apprentissage, l’enseignement secondaire préparant techniquement à un savoir-faire professionnel.
2- à l’étude plus approfondie de la loi – éthique, à la chronologie et la causalité historique des évènements, aux sports et aux secourisme.
3 –à l’expression orale et écrite en français, lecture et étude de textes ; idem en anglais ; à une troisième langue (que beaucoup parlent en famille et qui sera valoriée); arithmétique, musique, dessin.

Un professeur de sciences et de maths et des assistants pour les travaux dirigés, un de français plus assistants td, un d’anglais plus assistants td, un d’histoire et de droit et assistants td, un de musique et assistant, un de dessin et assistant. Autant que faire se peut, chaque professeur pourra cumuler deux des enseignements.

A la puberté :
Des goûts et des choix se manifestent vers diverses activités pratiques et théoriques, chacun sera encouragé dans sa voie.
1 – L’enseignement scientifico-technique conduit à des niveau élevés d’ingénierie (mieux que l’enseignement général actuel) ; il sera dispensé par les expériences, la progression historique de tout ce qui est enseigné, la pratique professionnelle ; ces trois éléments feront les trois épreuves préparatoires au diplôme d’étape pré -professionnel (DpP) de fin de collège.
2- L’histoire et les lois fondamentales seront étudiées : les personnes, les institutions, les contrats, les biens, les animaux, les végétaux, les minéraux. On détaillera l’histoire des faits sociaux, leurs causes et leurs conséquences corrélativement au droit de l’époque considérée, en particulier l’histoire et les fondements du droit des professions sera enseigné. On y ajoutera le secourisme et l’entraînement à la défense collège par collège.
3 – L’anglais langue vernaculaire devra permettre de communiquer au travail dans cette langue. En option une deuxième langue sera choisie. L’expression professionnelle et littéraire en langue française sera affinée, la lecture d’auteurs anciens et contemporains y aideront. Outre ces enseignements obligatoires, l’enseignement public proposera dans chaque collège un enseignement de l’histoire de la littérature, au moins deux langues anciennes, si possible trois ; parmi ces options, l’élève devra en choisir au moins une à titre d’initiation. Il pourra opter pour une ou deux autres ou même trois autres. Les arts seront optionnels dans la mesure où les maîtres pourront y former. Les mathématiques élémentaires sont enseignées à tous. Sports.
Un prof. par matière ou discipline. Les professeurs seront encourager à cumuler deux matières ou disciplines.

Stages ?

Années lycée :
Enseignement scientifico-technique obligatoire préparant au diplôme professionnel.
Enseignement général par options ; chacun doit en choisir librement une, et facultativement jusqu’à trois.
L’enseignement de l’histoire des civilisations (expression plus universelle qui inclut les dits faits religieux) sera dispensé en option.
La philosophie, en option, loin d’être supprimée sera abordée (1 heure par semaine l’avant-dernière année et deux la dernière année) en s’appuyant sur les représentants les plus éminents des principales pensées de l’orient à l’occident : cette réflexion viendra approfondir les études scientifiques de l’infime quantique à l’incommensurable univers obscur et lumineux en passant par la vitalité immanente aux organismes animaux, végétaux et minéraux.
Stages …
Apprentissage et alternance…

Dans chaque discipline, le cours magistral sera dispensé au plus grand ensemble d’élèves possible. Les travaux dirigés et pratiques correspondant au cours auront lieu par petits groupes.

Des facultés : médecine, arts (ex lettres), droit, sciences (dont sciences dites humaines et histoire).
L’aire des circonscriptions académiques actuelles semblent adaptée à l’implantation des facultés. Les programmes et l’inspection pédagogique sont du ressort de l’académie ; l’organisation et l’administration du ressort de l’ensemble des départements correspondant à l’académie.

Cas particulier du Conservatoire National des Arts et Métiers. Il poursuit ses enseignements de docteur-ingénieur, selon ses statuts actuels.

Les programmes et les épreuves des examens sont déterminés à l’échelle nationale, sauf les options locales dont les contenus seront déterminés par les académies sur demande des conseils territoriaux responsables de leur organisation.

Quant aux épreuves des concours, elles dépendent principalement des postes à pourvoir et seront déterminées par ceux qui ont la responsabilité institutionnelle du recrutement.

Avant de parler plus avant du recrutement – des enseignants et des inspecteurs, d’une part ; des administrateurs d’autre part – réfléchissons à leur formation.

FORMATION

– Des puériculteurs-puéricultrices : ils et elles sont formés en instituts spécialisés.

– Des pédagogues d’écoles dites maternelles :
Le service public offre des préparations à l’enseignement d’enfants jusqu’à environs 5 ans. Il appartient aux municipalités de les organiser. Ces formations sont accessibles après le Brevet (Diplôme préprofessionnel DpP) ou le Bac (Diplôme Professionnel), elles incluent des semaines de participation à l’enseignement et une période de stage continu d’au moins trois mois (?) avec le ou la pédagogue, et sanctionnées par un brevet professionnel supérieur (BPS) avec une mention spéciale pour ceux reconnus capables d’enseigner l’Anglais (La langue anglaise requiert un rythme, un ton et une prononciation indispensables à son enseignement à des petits enfants pour qu’ils acquièrent les bons réflexes).
– Des maîtres-instructeurs généraux, maîtresses-instructrices générales d’écoles primaires : il appartient aux municipalités d’organiser les formations préparatoires accessibles après le Brevet (Diplôme pré Professionnel) ou le Bac (Diplôme Professionnel). Les élèves instructeurs doivent pouvoir y apprendre à enseigner la totalité du programme préparatoire, élémentaire et moyen. Il y aura plusieurs semaines de participation à l’enseignement et une période de stage continu d’au moins trois mois ( ?) avec le ou la pédagogue. Le brevet professionnel supérieur d’aptitude à l’instruction primaire est décerné aux lauréats, avec une mention spéciale pour ceux reconnus capables d’enseigner l’Anglais. (La langue anglaise requière un rythme, un ton et une prononciation).

– Des maîtres-instructeurs et maîtresses-instructrices spécialistes de collège : chaque étudiant choisit deux spécialités. Les préparations sont organisées par les municipalités ou inter-municipalités.

– Des maîtres-instructeurs et maîtresses-instructrices spécialistes de lycée : idem.

– Des directeurs, des principaux et adjoints, des proviseurs et adjoints, des surveillants généraux, et des inspecteurs-instructeurs, inspectrices-instructrices pédagogiques et généraux : formation professionnelle et stage respectivement comme adjoint en établissement.

RECRUTEMENT
Les postes statutaires sont à pourvoir sur concours, dont les épreuves sont déterminées et organisées par l’académie (ou nationalement ?).

Les postes contractuels sont pourvus sur titre et entretien avec le directeur (et adjoint), le principal (et adjoint), le proviseur (et adjoint).

Dans les écoles maternelles et primaires un poste statutaire par classe de 20 élèves. Dans les collèges et lycées au moins un poste statutaire par matière ou discipline dans chaque établissement.

ETABLISSEMENT ET ORGANISATION MUNICIPALE PAR QUARTIER OU VILLE OU INTER-COMMUNE, SELON LE NOMBRE D’ELEVES.

Le directeur d’école est choisi parmi les deux ou trois lauréats par le maire (avec voix prépondérante en cas de départage) et ses adjoints après consultation du conseil municipal et du conseil d’administration de l’école, parmi les enseignants de l’école ayant enseigné de préférence dix ans en école et 3 ans dans l’école à pourvoir ; à défaut parmi les enseignants titulaires des écoles des quartiers limitrophes.
Le directeur d’école recrute les maîtres sur poste titulaire par concours écrit et oral dont les épreuves ont été fixées par l’académie (ou nationalement ?).
Le jury est composé de trois personnes tirées au sort : 1 maître-sse titulaire de l’école, 1 inspecteur-trice et 1 personne lauréate d’une école professionnelle accréditée par le ministre de l’éducation exerçant des responsabilités en entreprise.
Le directeur, après entretien, choisit parmi les 2 ou 3 premiers concourants.
Les établissements recrutent eux-mêmes les enseignants contractuels sur titre et entretien pour une durée minimum d’une année scolaire ou moins s’il s’agit d’un remplacement provisoire.

Idem pour les collèges et les lycées.

En cas de création d’école, le directeur d’école est choisi par le maire (en cas de départage avec voix prépondérante) et ses adjoints après consultation du conseil municipal et du conseil d’administration de l’école, parmi les enseignants titulaires ayant enseigné au moins dix ans en école et 3 ans dans les écoles des quartiers limitrophes.
Idem pour les collèges et leurs principaux, les lycées et leurs proviseurs.
Le jury est composé de trois personnes tirées au sort : 1 maître-sse titulaire respectivement d’écoles, de collèges, de lycées limitrophes, 1 inspecteur-trice et 1 personne exerçant des responsabilités en entreprise lauréat (diplômé) d’une école professionnelle accréditée par le ministre de l’éducation. Le directeur de l’école.
Idem pour les collèges et les lycées : le principal du collège ou le proviseur du lycée après entretien, choisit parmi les 2 ou 3 premiers concourants.

INSPECTION DES ENSEIGNANTS : annuelle en début de carrière, biennale au bout de dix ans. Les inspecteurs pédagogiques et généraux, les proviseurs, les principaux et les directeurs doivent exercer un minimum d’enseignement outre leur fonction administrative. L’inspection pédagogique est conçue comme faisant partie de la formation continue et du conseil pédagogique.
L’Avancement en qualifications fonctionne en acquérant de nouvelles compétences pédagogiques, d’une part ; et des résultats avec les élèves, d’autre part. Comment l’efficience pédagogique peut-elle être évaluée objectivement : en évaluant les capacités du sujet initialement et en se référant à la progression de sujets comparables bien déterminés, on obtient une norme d’évaluation. Cependant cette méthode n’est pas suffisante car chaque cas est singulier. L’inspection pédagogique assortie de conseils à appliquer complète l’évaluation normalisée.

INSPECTION DES INSPECTEURS ACADEMIQUES : annuelle en début de carrière, biennale au bout de dix ans. Cette inspection est conçue comme faisant partie de la formation continue à l’inspection et des conseils aux enseignants.

N.B. L’inspection des enseignants et des inspecteurs académiques est du ressort exclusif des académies (26 actuellement) qui dépendent exclusivement du ministre de l’éducation nationale.

RECRUTEMENT DES INSPECTEURS ET INSPECTRICES : le jury est composé de 5 personnes tirées au sort parmi les titulaires et par spécialité selon les postes à pourvoir : 1 maître-sse titulaire, 1 inspecteur-trice pédagogique, 1 inspecteur-inspectrice général, 1 maire ou adjoint à l’éducation, 1 directeur d’école professionnelle accréditée par le ministre de l’éducation.

RECRUTEMENT DES PRINCIPAUX ET DES PROVISEURS : parmi les enseignants de l’école ayant enseigné de préférence dix ans en école et 3 ans dans l’école à pourvoir ; à défaut parmi les enseignants titulaires des écoles à pourvoir ; à défaut parmi les enseignants titulaires des écoles des quartiers limitrophes, concours écrit et oral.

Jury : …

Parmi les deux ou trois lauréats, le maire (avec voix prépondérante en cas de partage) et ses adjoints choisissent après consultation du conseil municipal et du conseil d’administration de l’école, collège ou lycée.

CONSEIL D’ADMINISTRATION : président, personnalité externe désignée par le conseil ; vice-président, parent élu par les parents. Qui sont les autres membres du conseil et comment sont-ils désignés ?

Proposition à considérer : Instaurer une concertation entre inspecteur du travail et inspecteur pédagogique concernant l’alternance et l’apprentissage….

© Alain Desaint
31 décembre 2015
30 octobre 2018

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